Frédéric Paulin

Frédéric Paulin

Frédéric Paulin, auteur rennais, écrit des romans noirs depuis presque dix ans. Il utilise la récente Histoire comme une matière première dont le travail peut faire surgir des vérités parfois cachées ou falsifiées par le discours officiel. Ses héros sont bien souvent plus corrompus ou faillibles que les mauvais garçons qu’ils sont censés neutraliser, mais ils ne sont que les témoins d’un monde où les frontières ne seront jamais plus parfaitement lisibles. 

Il a notamment écrit Le monde est notre patrie (Goater, 2016), La peste soit des mangeurs de viande (La Manufacture de livres, 2017) et Les Cancrelats à coups de machette (Goater, 2018). La guerre est une ruse (2018), Prémices de la chute (2019) et La Fabrique de la terreur (2020), formant la « trilogie Benlazar », sont parus aux éditions Agullo. 
La Nuit tombée sur nos âmes (2021) est son dernier roman paru chez Agullo. 

 

Bibliographie:

  • Le monde est notre patrie, Goater (2016)
  • La peste soit des mangeurs de viande, La Manufacture de livres, (2017)
  • Les Cancrelats à coups de machette, Goater (2018)
  • La guerre est une ruse, Agullo (2018)
  • Prémices de la chute , Agullo (2019)
  • La Fabrique de la terreur, Agullo (2020)
  • La Nuit tombée sur nos âmes, Agullo (2021)
  • Nul ennemi comme frère, Agullo (2024)

 

Revue de presse:

Trilogie Benlazar :
« Pour apprécier la lecture de cette trilogie, on doit insister sur la construction des ouvrages et sur le choix de la fiction pour tenir le lecteur en haleine, entre roman d’espionnage, géopolitique et roman policier. Dans la lignée de Jean-Patrick Manchette et James Ellroy, Frédéric Paulin s’appuie sur les faits historiques, mais il crée des héros et des personnages secondaires incarnés.»
Christine Ferniot (Télérama)

La nuit est tombée sur nos âmes :
« L’auteur de la trilogie Benlazar parvient à partager l’effroi devant le chaos, la peur devant les tonfas et la colère face à cette violence d’Etat. Le roman sourde d’une colère sagement contenue depuis vingt ans, d’une émotion encore bien présente. C’est aussi une des réussites : faire passer, sans excès, ce sentiment d’injustice et aussi une impression d’amère défaite.»
The killer inside me